mardi 15 décembre 2009

Solidarité




solidarite:La solidarité est le sentiment de responsabilité et de dépendance réciproque au sein d'un groupe de personnes qui sont moralement obligées les unes par rapport aux autres. Ainsi les problèmes rencontrés par l'un ou plusieurs de ses membres concernent l'ensemble du groupe. La solidarité conduit l'homme à se comporter comme s'il était directement confronté au problème des autres, sans quoi, c'est l'avenir du groupe (donc le sien) qui pourrait être compromis. Avec autres mots, c’est de donner des objets , des aliments, de l’argent des riches aux pauvres, plus ou moins comme Robin Hood faisait.

mais comme pour tous, il y a des contres et de pours:
contre:
Un collectif d’associations dont Emmaüs, la Cimade, le Secours catholique et France Terre d’asile appellent à des rassemblements dans 80 villes de France pour demander la suppression du “délit de solidarité” avec les sans-papiers.
Pour Nathalie Ferré, membre du bureau du Groupe d’information et de soutien des immigrés (GISTI) et enseignante-chercheuse en droit privé, « l’aide au séjour irrégulier des étrangers » est utilisée aujourd’hui « pour inquiéter les associations ».

pour:
« En vaccinant mon enfant, je vaccine d’autres enfants dans le monde », est l’idée maîtresse d’un projet de parrainage que l’Office fédéral de la santé publique OFSP veut initier en collaboration avec l’UNICEF et avec le concours des médecins. Les parents vaccinant leurs enfants en Suisse pourront faire une contribution volontaire à l’UNICEF.

conclusion:moi je suis pour la solidarité car je pense que le monde est inégalement répartis et que c'est mauvais d'avoir des personnes beaucoup trop de millions et d'autres une misère...je pense que la solidarité pourrait être una aide pour égaliser un peu le nord et le sud...mais toujours je pense:pourqoui on peut pas fabriquer plus d'argent pour les pauvres?

bibliographie:

lieu:internet
auteur:Office fédéral de la santé publique OFSP
date:
site:le texte doit ètre chargé et mit en adobe reader donc il n'y a pas un nom de site!

lieu:internet
auteur:
date:2008
site:http://www.toupie.org/Dictionnaire/Solidarite.htm

lieu:internet
auteur:
date:08/04/2009
site:http://futurrouge.wordpress.com/2009/04/08/contre-la-solidarite-transformee-en-delit-80-manifestations-mercredi/

image:
lieu:internet
site:http://jangalekat.free.fr/blog/files/france/solidarite-mornant-logo.jpg

Journée international solidarité humaine


L’idée de solidarité humaine à l’échelle mondiale peut changer le monde, a déclaré Lech Walesa, cofondateur du mouvement ouvrier Solidarnosc et lauréat du prix Nobel de la paix en 1983. L’ancien Président de la république polonaise inaugurait alors la cérémonie de lancement de la première Journée internationale de la solidarité humaine, qui sera célébrée chaque année le 20 décembre.

Cette Journée, proclamée par l’Assemblée générale des nations unies en 2005, a pour but de souligner l’importance de la solidarité pour faire progresser l’ordre du jour des Nations Unies en matière de développement, en particulier, la lutte contre la pauvreté.

La Déclaration du Millénaire, adoptée par les chefs d’État et de gouvernement en 2000, définit d’ailleurs la solidarité comme l’une des valeurs fondamentales essentielles aux relations internationales du XXIe siècle.

La solidarité, ce n’est pas que la compassion. Elle est un sentiment d’unité et de responsabilité commune, a souligné Lech Walesa. Nous devons en faire la base de l’ordre mondial contemporain. Elle doit réunir la communauté internationale pour l’amener à réaliser sa supériorité sur les intérêts nationaux, en appelant à s’opposer à la vision de conflit et à y répondre par une vision de principes basée sur cette valeur.

Nos rêves peuvent changer la face du monde mais ils doivent être accompagnés d’actions, a poursuivi Lech Walesa. L’ancien Président polonais a proposé la création d’un fonds de la solidarité humaine qui permettrait à tous les citoyens de la planète d’apporter leur contribution même de la manière la plus modeste. Ce fonds serait un fonds d’aide de personne à personne et non de gouvernement à gouvernement, qui, alimenté par des contributions volontaires, pourrait être administré par le Secrétaire général des Nations Unies.

Nous ne pouvons résoudre aucun des grands problèmes du monde sans un partenariat mondial de grande envergure, a souligné Lech Walesa, estimant que le monde a besoin de changements et de mesures urgentes pour combattre la faim, les conflits, les catastrophes naturelles, les changements climatiques, les maladies et le terrorisme. Il ne faut pas avoir peur de rêver. Le mouvement Solidarnosc a pu en son temps mobiliser des millions de gens et contraindre une idéologie néfaste à la défaite.
Solidarnosc a profondément transformé la Pologne, la solidarité peut aider à transformer le monde.

Bibliographie:
Texte:1-lieu: internet
Site: http://www.buddhachannel.tv/portail/spip.php?article153
Date:vendredi 15 décembre 2006
Auteur:Buddhachannel
2-Lieu:internet
Site: http://www.journee-mondiale.com/93/20_decembre-internationale_solidarite_humaine.htm
Date: 15 décembre 2007
Auteur:Journée Mondiale
Image:lieu: internet
Site:http://membres.lycos.fr/voclin/ASBL_Les_3_blancheurs/solidarite.jpg

mercredi 2 décembre 2009

Pourquoi ce rechauffement ????



Le changement climatique et plus spécifiquement la notion de réchauffement global est un thème de préoccupation scientifique entré dans le domaine de la conscience publique au début des années 1990. La sévérité des impacts potentiels de ce changement, en particulier dans les pays en voie de développement, a incité les gouvernements à lancer des actions internationales pour aborder ce problème. La Convention cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (UNFCCC) a été négociée en 1992 lors de la Conférence de Nations Unies sur l’Environnement et le Développement (UNCED, Rio de Janeiro, Brésil) malgré le grand nombre d’incertitudes, inhérentes à la connaissance à cette époque des mécanismes complexes gérant le climat


La terre absorbe une partie des rayons du soleil et émet en retour un rayonnement infrarouge. Certains gaz naturellement présents dans l'atmosphère retiennent une partie de ce rayonnement, formant autour du globe terrestre une sorte de coque qui emmagasine de la chaleur. Exactement comme une serre! Ce processus maintient sur notre planète une température moyenne de 15°C. Sans lui, la température moyenne sur terre serait de l'ordre de -15°C !
Si la coque s'épaissit, ou autrement dit si la concentration en gaz à effet de serre dans l'atmosphère augmente, la température moyenne sur terre s'accroît : on parle d'une intensification de l'effet de serre. C'est ce qui se passe actuellement, car les activités humaines à travers notamment le chauffage, le transport, la combustion d'énergie fossile (pétrole, charbon, gaz) l'agriculture et la climatisation, émettent beaucoup de gaz à effet de serre dans l'atmosphère


Lieu: internet

Auteur:Admin


Date :24 avril, 2009



Lieu :internet

Auteur :ADN

dimanche 29 novembre 2009

Consequences changement climatique






Le monde peut s’attendre à voir sa température augmenter d’environ 0,2°C tous les 10 ans, pendant les 20 prochaines années, selon plusieurs scénarios imaginés par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC).

consequences sur la mer:



La mer monte. Chaque année depuis cent ans, celui-ci monte en moyenne de 1 à 2 mm à cause de la dilatation de l’eau sous l’effet de la chaleur et de la fonte des glaces terrestres

consequences sur la biodiversité:

D’ici à 2050, près d’un million d’espèces végétales et animales risquent de disparaître à cause du réchauffement climatique. Telle est la conclusion d’une étude internationale publiée en janvier 2004 dans la revue Nature.

Conséquences humaines:

Outre l'augmentation des catastrophes naturelles, les rendements agricoles pourraient être modifiés et les zones de présence des vecteurs de maladies comme le choléra ou le paludisme pourraient s’élargir. De nombreuses populations en croissance qui vivent dans des zones tropicales pourraient en particulier être affectées par le changement climatique. D'autres populations pourraient être déplacées suite à la montée des eaux.

Conséquences économiques:

Les calculs de l'impact économique du réchauffement climatique sont très difficiles à effectuer. Certains économistes parlent d'un coût de deux euros par tonne de carbone, tandis que d'autres évoquent 50 euros. Parmi les chiffres avancés, on estime que le réchauffement climatique pourrait coûter jusqu'à 1 point de croissance. On notera que les banques, les assurances, les agriculteurs et les pays en voie de développement sont les plus exposés.

mais il y a aussi des consequences positives:


Déjà, le réchauffement climatique commence à pousser les gouvernements à s'entendre pour lutter contre un problème qui les concerne tous, ce qui en soi est assez inédit. Le réchauffement climatique et les problèmes liés à l'énergie ont également tendance à accélérer la prise de conscience individuelle et politique de l'impact de l'activité humaine sur l'environnement. Ils incitent au développement de solutions technologiques innovantes. D'autres conséquences plus ponctuelles prévues sont :
– une plus faible mortalité hivernale dans les zones tempérées,
– une augmentation de la production de bois,
– une hausse des rendements agricoles dans les zones tempérées,
– un accroissement des ressources en eau dans certaines zones sèches proches des tropiques,
– une baisse des consommations d'énergie pour se chauffer (mais une augmentation de celles nécessaires à la climatisation).


bibliographie:

lieu:internet

auteur:

date:09/07/08

site: http://www.planete-energies.com/contenu/7_11_6_consequences.html


lieu:internet

auteur:antoinin

date:

site: http://www.citesciences.fr/francais/ala_cite/science_actualites/sitesactu/magazine/article.php?id_article=2923&id_mag=3&lang=fr


lieu:internet

auteur:mali

date:

site: http://www.afrik.com/article14977.html


lieu:internet

site: http://dutron.files.wordpress.com/2009/07/changement-climatique-ours-blanc-perche.png?w=445&h=640








8 décembre : Journée Mondiale du Climat (introduction)




- 30% d’émissions de gaz à effet de serre d’ici 2020, sans nucléaire, c’est possible !

Le changement climatique fait peser de nombreux risques sur notre planète :


° Multiplication des catastrophes climatiques (canicule, inondations, tempêtes…) ;
° Montée des eaux qui menace de disparition certains territoires et provoquera l’exode des milliers de « réfugiés climatiques » ;
° Menace sur la faune et la flore et multiplication des catastrophes alimentaires et sanitaires

Les fausses solutions que sont l’énergie nucléaire (polluante, dangereuse et proliférante) ou les agrocarburants et les mauvaises orientations comme le « tout autoroute » sont destinées à soutenir un modèle de développement dévastateur. Elles détournent des financements qui devraient être affectés à la promotion des économies d’énergie, de l’efficacité énergétique et des énergies renouvelables !

Du 3 au 15 décembre se tiendra à Bali la 13e conférence internationale des Nations unies sur le changement climatique, pour préparer la suite du protocole de Kyoto.
Au même moment, la France dévoilera le projet de loi issu du Grenelle de l’Environnement.

Pour une véritable justice climatique1, les pays riches doivent s’engager à réduire de 30% leurs émissions de gaz à effet de serre, sans nucléaire, d’ici 2020.

Bibliographie:
texte:
1-Lieu:internet
Site: http://www.rac-f.org/8decembre
Date:
Auteur:
2-Lieu:internet
Site:http://www.journee-mondiale.com/187/8_decembre-climat.htm
Auteur:Journée Mondiale

Image:Lieu:internet
Site:http://www.tangolab.net/lebloglab/images/2007/clima.jpeg

samedi 14 novembre 2009

Consommation




difference entre necessaire et innecessaire:


Avant, consommer état l’action d’achetter les choses indispensables dans la vie mais, Dans cette nouvelle époque, Consommer est pour chacun une activité de tous les jours, qui consiste à satisfaire certains besoins et désirs.


une autre chose inegalement repartis, la consommation:


l’accès aux marchés est devenue un enjeu de première importance bien qu’elle n’incite pas à l’amélioration des pratiques, au contraire : elle ne vise qu’à concentrer et sécuriser les approvisionnements des grosses firmes. Elle est en effet le dernier moyen inventé pour éliminer les petits producteurs qui ne peuvent accéder aux exigences qu’elle impose.
Pendant que l’Organisation Mondiale du Commerce détruit toutes les protections aux frontières susceptibles de garantir l’autonomie alimentaire ou économique des peuples, les multinationales multiplient ces nouvelles barrières normatives pour protéger leur monopole.
Les petits producteurs, les artisans et les commerçants, partout dans le monde, sont soumis aux rouleaux compresseurs mettant leur subsistance et leur souveraineté en péril. La certification en agriculture biologique entraîne la perte de biodiversité agricole en interdisant les semences paysannes et les races locales.



ma conclusion:

moi je pense que la consommation est une des grandes causes pour la: surconsommation, santé, déchets et gaspillages, pollutions et nuisances, abondance et pénurie, pauvreté (tiers monde et quart monde).



bibliographie:


lieu:internet

auteur:

date:11/10/09



lieu:internet
auteur:minga
date:lundi 24 mars 2008
site:http://www.passerelleco.info/article.php?id_article=739




image:


jeudi 12 novembre 2009

Journée sans achat




Le 24 novembre 2007 se tiendra la 9ème journée sans achat. Initiée par les Casseurs de Pub, elle prend aujourd’hui un peu plus d’ampleur puisqu’on la retrouve dans différents pays.
La société de consommation est aveugle, il n’y a pas de croissance et de développement économique infinis possibles sur une planète dont les ressources sont limitées.
Nous extrayons aujourd’hui deux fois trop de ressources fossiles, et nous émettons dans l’atmosphère plus de deux fois plus de gaz carbonique que la planète ne peut en absorber.
La biodiversité s’effondre.
C’est aujourd’hui que l’extraction du pétrole entre en déclin.
La société de consommation engendre un pillage et l’injustice :20 % de la population de la planète, les pays riches, consomment plus de 80 % des ressources planétaires.
Notre niveau de consommation a un coût : l’esclavage économique de populations entières.
La société de consommation est mortifère, elle réduit l’humain à n’être qu’un agent économique : producteur-consommateur. Elle nie nos dimensions politique, culturelle, philosophique, poétique ou spirituelle qui sont l’essence même de notre humanité.
Nous devons nous libérer de cet obscurantisme qui consiste à croire en la toute-puissance de la technoscience et à nous défausser sur elle de nos reponsabilités.
La science repose sur le doute et non sur la foi. L’espoir est de réanimer notre conscience et de traduire nos idées au quotidien dans nos actions.
Renouons avec notre capacité d’autolimitation, individuellement, avec la simplicité volontaire, et collectivement, grâce à la décroissance. (JPEG) Dès aujourd’hui, faisons un geste symbolique : pour une journée, ce samedi 24 novembre... cessons d’acheter.
clomclusion : alors vous savez se qu il vous reste a faire !!???
Bibliographie:
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lieu: internet
date:24 novembre 2005
auteur: journée sans achats
lieu : internet
date :samedi 4 avril
auteur : journée sans achats

mercredi 11 novembre 2009

26 novembre: journée mondiale sans achat.



Aujourd’hui le caddie est devenu un véritable totem pour les sociétés occidentales. Notre niveau de satisfaction dépend généralement de son niveau de remplissage et nous lorgnons toujours avec envie sur les caddies plus remplis que le notre. J’achète donc je suis : c’est le credo des accros de la carte de crédit. Qui n’a jamais été pris d’une fièvre acheteuse ? Et qui n’a jamais regretté ses achats impulsifs ?

Pour tout ceux qui en ont assez de faire partie de cette société de surconsommation, un rendez-vous incontournable : la journée sans achats fétée chaque année le 26 novembre.

La journée sans achats, c’est 24 heures de réflexion sur l’impact social, économique et écologique de la consommation des pays riches sur l’ensemble de la planète. N’oublions pas que 20% de la population mondiale consomme 80% des ressources planétaires !

Lancé à l’initiative de la Media Fondation à Vancouver, cet événement est relayé dans de nombreux pays depuis plusieurs années. C’est une journée symbolique dont le mot d’ordre est de ne rien acheter et de réfléchir à ce que signifie réellement la société de consommation. L’un des seuls pouvoirs dont chacun d’entre nous dispose est celui de décider d’acheter ou de ne pas acheter. Nous pouvons librement décider où et à quel prix nous passerons à la caisse. De nos jours l’être humain est trop souvent réduit à une seule dimension : le consommateur. C’est la négation pure et simple de notre humanité. Mais quoi que pensent les multinationales, nous ne nous réduisons pas à un porte-monnaie. Nous avons aussi une dimension spirituelle, culturelle et philosophique qui font notre richesse. Nous avons effectivement des désirs mais ce n’est certainement pas une quelconque marque de chips, eau de toilette ou de chaussures de sport qui pourrait les combler.

La journée sans achats est le meilleur moyen de s’interroger sur ses actes de consommation. Il est nécessaire de prendre de temps en temps du recul pour réfléchir aux valeurs que nous souhaitons défendre, comme le partage, le respect et la qualité. C’est aussi un instant privilégié pour nous interroger non seulement sur nos droits, mais surtout sur nos devoirs et nos responsabilités. Nous disposons d’un réel pouvoir économique qui peut se transformer en un pouvoir de pression. La décision d’achat ou de non-achat peut donc devenir un acte politique qui contribuerait à changer le système. Consommer autrement, c’est revendiquer sa volonté de voir évoluer les législations, c’est dire oui à une approche éthique de l’acte d’achat, aux alternatives économiques et à une autre gestion de son temps.

On nous pousse à croire que surconsommer est notre destinée d’acteur social ; notre raison d’être dans la société. D’ailleurs, ne voit-on pas que sont exclus tout ceux qui ne peuvent, comme nous, faire leur "shopping " hebdomadaire ! Notre vie ne dépend-elle que de la couleur de notre carte de crédit ? L’achat serait-il notre seul moyen d’exister ?

Au fait, pour fétêt la journée sans achat, n'oubliez pas d'acheter une bonne bouteille... la veille !

Bibliographie:

1-lieu:internet
site: http://www.consommateur.qc.ca/union/207.htm
date:2007-11-23

2-lieu:internet
site:http://www.journee-mondiale.com/141/26_novembre-sans_achats.htm
date:2008-11-25
auteur:Journée Mondiale

image: lieu: internet
site:http://www.journee-mondiale.com/141/26_novembre-sans_achats.htm

vendredi 6 novembre 2009

Bilan d`une journée sans voiture



Dans le monde entier, de plus en plus de villes mettent en place une journée sans voiture : cyclistes et piétons prennent le pouvoir sur la route pour virer la pollution automobile et les automobilistes sont invités à prendre les transports en commun! Hier, Alger (capitale de l'Algérie) s'y est mise aussi ! Le ministère de l’Environnement, de l’Aménagement du territoire et du Tourisme a en effet organisé une journée sans voiture vendredi 16 mai 2008 de 9h00 à 19h00 baptisée "la rue est à vous, Alger sans voiture", avec la collaboration de la wilaya d’Alger, de la radio El Bahdja et d'associations militant pour la protection de l’environnement. Diverses manifestations ont eu lieu pour sensibiliser la population aux actions environnementales.

Impact sur la qualité de l’air:
Pendant la journée sans voiture de dimanche, les polluants les plus représentatifs de l’influence du trafic sur la qualité de l’air à Bruxelles, les oxydes d’azote (NOx) et le monoxyde de carbone (CO), présentaient des concentrations spectaculairement différentes entre une journée sans voiture et un jour de trafic normal.
Ainsi, l’air de la rue de la Loi, qui est généralement fortement exposé au trafic, présentait ce dimanche 17 septembre une concentration moyenne en monoxyde d’azote (NO) quinze fois inférieure à la moyenne d’un jour de semaine et six fois inférieure à la moyenne d’un dimanche normal. Pour le CO, les concentrations étaient deux fois moindre que la moyenne d’un dimanche normal et trois fois moindre qu’un jour de semaine.
Impact sur le bruit:
L’analyse de l’impact d’une telle journée sur les niveaux de bruit repose sur une comparaison entre les niveaux de bruit mesurés le dimanche 17 septembre et ceux relevés lors du dimanche précédant l’opération, le 10 septembre. Les conditions météorologiques de ces deux journées, de 9h à 19h, étaient assez comparables (ni précipitation, ni vent).
De manière générale, quelle que soit la station considérée, les niveaux de bruit relevés de 9h à 19h sont inférieurs durant le dimanche sans voiture, modifiant considérablement l’ambiance sonore des quartiers concernés et contribuant à transformer un quartier habituellement bruyant en quartier calme.
Notre conclusión:
Comme nous pouvons pas supprimer toute les voitures du monde, c’ est bien d’organiser des jounées sans voitures pour notre planère.


bibliographie:

lieu:internet

date:le Samedi 17 mai 2008

auteur: Séverine Alibeu



lieu:internet

date:19 septembre 2006

auteur:Evelyne Huytebroeck



image:

lieu:internet

jeudi 5 novembre 2009

Les coséquence des voiture: le changement climatique.



C'est quoi le changement climatique?

Le chagement climatique désigne l'ensemble des variations des caractéristiques climatiques en un endroit donné, au cours du temps : réchauffement ou refroidissement. Certaines formes de pollution de l’air, résultant d’activités humaines, menacent de modifier sensiblement le climat, dans le sens d’un réchauffement global. Ce phénomène peut entraîner des dommages importants : élévation du niveau des mers, accentuation des événements climatiques extrêmes (sécheresses, inondations, cyclones, ...), déstabilisation des forêts, menaces sur les ressources d’eau douce, difficultés agricoles, désertification, réduction de la biodiversité, extension des maladies tropicales, etc.

Causes :

Les transports (26% des émissions)Les transports sont le secteur dont les émissions ont le plus augmenté depuis 1990. C’est l’un des secteurs les plus problématiques pour réduire les émissions, car les alternatives technologiques ne sont pas encore mûres sur certains segments.L’industrie (20% des émissions)Contrairement à une idée reçue, les émissions du secteur industriel ont décru de plus de 20% en France depuis 1990. Toutefois, la baisse des émissions industrielles françaises est aussi liée à la délocalisation d’usines dans des pays en voie de développement et pose donc la question des conséquences environnementales de ces délocalisations.
Les bâtiments (19%)Les bâtiments constituent un secteur d’autant plus important pour la lutte contre le changement climatique que c’est celui où les solutions techniques sont les plus accessibles pour réduire significativement les émissions.
L’agriculture (19%)Les émissions du secteur agricole proviennent pour moitié environ de l’utilisation d’engrais, d’origine synthétique ou animale.

Consequences :

On dit souvent qu’on ne peut pas contrôler le temps qu’il fait, mais il est clair que les activités humaines influent sur le climat de la Terre et donc sur le temps qu’il fait. Au fil des âges, la population humaine croissante a changé la face du monde en transformant des milieux sauvages en terres agricoles, en édifiant de larges zones urbaines et en défrichant ou en brûlant la jungle ou la forêt. Or, lorsque la nature d’une surface est altérée, cela joue sur son interaction avec les autres éléments du système climatique.
En outre, les phénomènes de sécheresse, salinisation et désertification peuvent être aggravés par les modifications anthropiques du climat, notamment dans le Sahel et le désert de Gobi qui s'étendent. La désertification peut elle-même contribuer à des modifications locales et globales du climat, exemple en favorisant les incendies de savanes ou steppes, en étant une source importante de poussières (aérosols qui peuvent influer sur la pluviométrie) et par leur albédo (plus importante qu'un milieu végétalisé).
bibliographie:
site:internet
auteur:novethic
date:30/08/2006
site:internet
auteur:
date:23/09/2009
site:internet
auteur:
date:2009-09-29
site:internet
auteur:
date:
site:internet
auteur:la documentation fraçaise
date:1996 - 2009
image:
site:internet

lundi 2 novembre 2009

Pourquoi une journée "En ville, sans ma voiture !"



(1)Une telle entreprise est née d'un constat : les Européens sont fortement préoccupés par la pollution et la mobilité urbaine. En ville, beaucoup se plaignent d'une mauvaise qualité de l'air, de nuisances sonores, d'encombrements, etc. Malgré cela, le parc automobile et la circulation croissent...La journée "En ville, sans ma voiture !" a pour objectif de favoriser la prise de conscience collective de la nécessité d'agir contre les nuisances générées par la croissance du trafic motorisé en milieu urbain. Il ne s'agit pas seulement de lutter contre la pollution atmosphérique ou contre le bruit mais aussi d'améliorer la qualité de vie en ville.La journée sans voitures existe depuis 1998 et les bilans des dernières années montrent une certaine désafection et un réel désengagement des grandes communautés urbaines :En France, la 7e édition de la "Journée internationale en ville sans ma voiture" (2004) s'est quelque peu essouflée en France, avec seulement 59 villes participantes mercredi 22 septembre contre 72 en 2003 et 98 en 2002. A Paris, seuls quelques quartiers étaient interdits aux voitures.Parmi les 58 villes françaises qui ont participé cette année à l'opération figurent Paris, Orléans, Rennes, Narbonne, Poitiers, Lyon, Calais, Mantes-la-Jolie, Amiens, Avignon, Vannes et bien entendu La Rochelle qui fut une pionnière en la matière.Dans le reste du monde, des reculs sont aussi constatés : Au Portugal, 54 villes, sept de moins qu'en 2003, étaient officiellement concernées par la journée sans voiture. Dans la plupart des grandes villes scandinaves, autrichiennes, grecques, italiennes ou néerlandaises, les résultats ont aussi été très mitigés, par manque d'organisation ou encore de coopération des automobilistes. Moscou, Berlin, Budapest et Amsterdam n'ont même pas participé.Globalement, ce sont tout de même près de 1500 villes dans une quarantaine de pays se seront mobilisées en 2004.
(2)Par exemple, à Montréal, la septième édition cause la fermeture à la circulation automobile d'un important quadrilatère entre 9h30 et 15h30. Clui-ci va de McGill à Saint-Urbain et des boulevards René-Lévesque à de Maisonneuve. Par ailleurs, la rue Sainte-Catherine sera fermée à la circulation pendant toute la journée entre Saint-Urbain et Jeanne-Mance. Des activités auront lieu dans le quadrilatère et la journée doit donner lieu à certaines initiatives originales.
Depuis 2007, cette journée mondiale tend à être remplacée par une semaine de la mobilité qui vise à promouvoir l'usage des transports en communs...




Bibliographie : TEXTE




1-Lieu : internet




Auteur : Journée Mondiale


2-Lieu: internet



Date: 21/09/2009

Image:lieu:internet
Cite: www.environement.public.lu
Date:14/09/2004

Date:21/09/2009

Image:lieu: internet
Cite:

Auteur: Olivier Caron


IMAGE Lieu. Internet


f

Le problème de la faim : la malnutrition et ses conséquences.


  1. La faim et la malnutrition affectent la croissance économique, la santé, la productivité et la qualité de vie des populations. Le monde produit pourtant assez d'aliments pour nourrir chacun.
  2. La malnutrition est l'une des causes principales de la faim dans les pays en développement, où, tous les ans, environ 30 millions d'enfants naissent avec un poids insuffisant. Les bébés qui survivent restent chétifs et maladifs toute leur enfance et leur adolescence. Si la malnutrition infantile était éliminée en Inde, par exemple, le produit intérieur brut du pays pourrait augmenter de quelque 28 milliards de dollars, d'après la Banque mondiale. C'est là plus que ne dépense au total actuellement l'Inde pour la nutrition, la santé et l'éducation.
  3. Quelque 150 millions d'enfants d'âge préscolaire dans le monde entier sont de poids insuffisant, et 200 millions souffrent de chétivité, mais les experts conviennent que c'est seulement là la partie émergée de l'iceberg. Tous les ans, 11 millions d'enfants de moins de 5 ans meurent de faim, de malnutrition et de maladies opportunistes - l'équivalent d'un enfant toutes les cinq secondes.


  4. La faim cachée, à savoir les carences en micronutriments - le manque d'éléments essentiels dans la nourriture - est encore très répandue.
  5. Environ 254 millions d'enfants d'âge préscolaire souffrent de carence en vitamine A dans 118 pays, l'une des principales causes, pourtant évitable, de la cécité. En moyenne, l'amélioration de l'apport de vitamine A permet de réduire les taux de mortalité des enfants de 23 pour cent, grâce à la capacité de cette vitamine de renforcer le système immunitaire.
  6. La carence en fer, la principale cause de l'anémie, reste une pandémie et affecte 2 milliards de personnes. Le phénomène est partiellement responsable des taux élevés de morbidité et de décès


BIBLIOGRAPHIE :


Texte :
Lieu : internet
Auteur : Programme alimentaire mondial (PAM)
Site : http://one.wfp.org/french/?ModuleID=93&Key=420 Date : février 2003,
Image:

jeudi 15 octobre 2009

La faim dans le monde


Notre 21ème siècle commençant connaît un scandale dont on parle, hélas, trop peu : celui de la faim dans le monde.
Le rapport de l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation (la FAO), publié le mois dernier, le montre : 850 millions de personnes, soit un terrien sur six, souffrent de faim ou de malnutrition ; un enfant en meurt toutes les cinq secondes.
Les pays les plus touchés par la faim sont ceux d’Afrique subsaharienne et l’Asie mais :
le problème reste tout de même mondial, et non spécialement localisé en Afrique : aucun état n’a actuellement réussi à vaincre totalement la faim qui ronge son pays. Vagabonds, réfugiés de guerre, S.D.F (« sans domicile fixe », comme on les surnomme en France), habitants de bidonvilles..., tels sont les pauvres gens touchés par la faim et dont il est important d’étudier les conditions de vie.
Mais, ce combat n’est pas vain. Nous pouvons même être pratiquement certains que la famine sera définitivement vaincue au cours de ce siècle. Mais selon l’implication et les efforts de chacun, cette victoire contre la faim peut se situer en 2030 ou en 2080. Entre ces deux dates, il y a cinquante ans - soit au rythme actuel de la mortalité pour cause de famine (25 000 personnes par jour), plus de quatre cents millions de morts.
Conlucion: La faim est un attentat contre l'être humain. Elle a été présente dans toute l'histoire de la terre. Nous pouvons aider à la combattre en faisant des dons mais aussi en essayant de changer le monde.
La faim dans le monde est une des raisons de l'approbation de la Déclaration universelle des droits de l'homme, mais les hommes violent cette déclaration. Nous devons donc, la rappeler et la défendre.
L'article 25 de la Déclaration universelle des droits de l'homme a un rapport direct avec la faim dans le monde. Le voici :
Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l'alimentation, l'habillement, le logement, les soins médicaux ainsi que pour les services sociaux nécessaires; elle a droit à la sécurité en cas de chômage, de maladie, d'invalidité, de veuvage, de vieillesse ou dans les autres cas de perte de ses moyens de subsistance par suite de circonstances indépendantes de sa volonté.




bibliographie:

Lieu :internet
Auteur :romain
Site: http://www.rvweb.fr/index.php?2001/12/14/6-la-faim-dans-le-monde-3
Date: le vendredi 14 décembre 2001 à 10:01



Lieu: internet
Auteur: terresacre
site: http://terresacree.org/faim.html
date:octobre 2008

lieu:Internet
auteur cybersoc
http://pages.infinit.net/cybersoc/faim/pagecadre.html
date :mai 2009

lieu:Internet
auteur: Philippe Jurgensen
http://www.canalacademie.com/La-faim-dans-le-monde.html
date: inconue

lieu:internet
site:http://mimi40.m.i.pic.centerblog.net/r2ougg1p.jpg

jeudi 1 octobre 2009

Qu'est-ce que le develloppement durable?


En 1980, l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) propose le concept de « développement durable ».Mais sa définition n’est véritablement formulée qu’en 1987 par le rapport de la Commission des Nations Unies sur l’Environnement et le développement, que présidait le Premier ministre de Norvège, Mme Gro Harlem Brundtland : ce rapport, intitulé « Notre avenir à tous » , propose de définir le concept de sustainable development comme « un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la possibilité, pour les générations à venir, de pouvoir répondre à leurs propres besoins ».Le développement durable est un mode de développement économique cherchant à concilier le progrès économique et social et la préservation de l'environnement, car ce dernier comme un patrimoine à transmettre aux générations futures. Le principe du développement durable consiste à développer ses activités en tenant compte de leurs impacts à court, moyen et long terme sur l'environnementau niveau mondial.Ce concept repose sur la nécessité de préserver les ressources pour les générations futures tout en maintenant un objectif de croissance.L'agriculture biologique , le commerce équitable, les marchés des énergies renouvelables sont des activités de développement durable.De plus en plus d'entreprises, souvent des grands groupes, engagent, sur la base du volontariat, des démarches de développement durable en s'intéressant notamment à leurs sources d'approvisionnement en matières premières et emballages (conditions de culture et conditions de travail des salariés...), à la gestion des ressources (eau, énergie) au niveau des process, à la gestion des déchets...

Bibliographie:

TEXTE:
lieu: internet
site: http://www.agrojob.com/dictionnaire/definition-developpement-durable-3981.html
auteur:la société Komodo
date: 25 mai 2005

lieu internet
site : http://www.assemblee-nationale.fr/12/controle/delat/developpement_durable.asp
auteur:assemble nationaledate:novembre 2008

FOTO:
lieu: internet
site: http://www.beyouconsulting.com/consulting-it-finance/images/dvpt_durable.png

Le Développement Durable, pourquoi ?

Les habitants des pays riches, comme la France, consomment et gaspillent énormément. Aujourd’hui, on ne fait même plus la différence entre envie et besoin. Consommer toujours plus, c’est gaspiller toujours plus les ressources naturelles que la planète a mis des millions d’années à créer (air, eau, océans, forêts, terres cultivables, biodiversité, pétrole), et qui ne se renouvellent pas assez vite pour satisfaire la demande croissante… Et rejeter toujours plus de pollutions et de déchets dans l’environnement, qui commence à être saturé…Cette situation ne peut pas durer : les catastrophes écologiques et sanitaires montrent déjà les limites du système. Et cela ne va faire que s’aggraver : la Terre compte 6 milliards d’habitants ; en 2050, nous serons 3 milliards de plus.Aujourd’hui, la grande majorité de l’humanité vit toujours dans la pauvreté. Des millions de femmes, d’hommes et d’enfants n’ont ni eau potable, ni électricité, ni éducation, ni assez à manger… Mais si tous les habitants de la terre vivaient comme nous, il faudrait deux planètes supplémentaires pour satisfaire leurs besoins !Or, nous n’avons pas de planète de rechange. Alors, comment améliorer les conditions de vie de tous les citoyens du monde sans épuiser définitivement la Terre ? Comment satisfaire les besoins des hommes d’aujourd’hui tout en léguant la Terre en bon état aux générations qui l’habiteront après nous ?En apprenant à économiser et à partager de manière équitable les ressources, en utilisant les technologies qui polluent moins, qui gaspillent moins d’eau et moins d’énergie, et surtout en changeant nos habitudes de consommation et nos comportements. C’est cela, le développement durable. Ce n’est pas un retour en arrière, mais un progrès pour l’humanité : celui de consommer non pas moins, mais mieux. Il est devenu urgent d’agir. Nous en avons tous les moyens. Et surtout, le devoir
Bibliographie
TEXTE :
Lieu : internet
Site : http://www.ledeveloppementdurable.fr/developpementdurable/page/pourquoi.html Auteur : Anne Jankéliowitch
Date : 23/09/09

FOTO:
ieu: Internet
Site: http://www.ponts-formation-edition.fr/images/environnement.jpg



Tous concerné



Toute la société est concernée. Gouvernements, collectivités territoriales, acteurs économiques, associations, institutions publiques ou privées, etc., chacun a un rôle à jouer.La progression vers un développement durable se décline aussi bien au niveau local que global, à l’échelle du village comme à celle de la planète.Elle ne peut réussir que si le citoyen se sent responsable des progrès à accomplir et y participe tant dans ses activités professionnelles que privées.Par exemple:
le comerce equitable:C’est une démarche qui permet à des petits producteurs des pays du Sud ou du Nord, cultivant souvent dans le respect de l’environnement, de vivre décemment de leur travail grâce à un prix d'achat de leurs récoltes garanti. Tu peux trouver de plus en plus de produits équitables comme du café, du chocolat, du sucre, dudes bananes, des oranges et du coton …
le microcredit:C’est de l’argent, le plus souvent d'un faible montant, qu’une association prête à des gens pauvres pour qu’ils créent une activité qui leur permettra de gagner leur vie. Ce « coup de pouce » est souvent un moyen pour les plus pauvres d’accéder à une vie meilleure. des quartiers durables:Ce sont des quartiers où s’installe un mode de vie durable : les bâtiments consomment peu d’énergie et émettent peu de CO2, les habitants ont recours au maximum à des modes de déplacement non polluants, le travail, les commerces et les écoles sont à proximité. Les décisions qui concernent le quartier sont prises avec l’ensemble des habitants. l'ecotourisme:C’est une façon de visiter un pays, en découvrant sa nature, ses espèces et sa culture en respectant son environnement et ses habitants. Il cherche à minimiser les conséquences négatives du tourisme sur l’environnement naturel et socioculturel.


bibliographie:

TEXTE:
lieu: Internet
site: http://fontainebleau.evous.fr/Qui-est-concerne-par-le,1208.html auteur:fontaine bleu date:11 decembre 2008

IMAGE:
lieu : Internet
site: http://csp.lesblogsmedias.fr/files/shortcuts/img-dossier-les-medias-et-le-developpement-durable-shortcut.jpg