jeudi 28 janvier 2010

Les zones humide en danger




Comme le savent certains d’entre vous, nous avons notre journée, la journée mondiale des zones humides, le 2 février. Nous la célébrons normalement partout dans le monde au sein de nos différentes antennes grâce à des événements locaux. Cette année, le thème était "Du poisson pour demain?" et mettait l’accent sur le problème de l’épuisement des ressources dû à la surpêche. L’année prochaine, ce sera "Des zones humides saines pour des populations saines" et nous reviendrons sur le lien étroit qui existe entre les zones humides et le bien-être des populations.

On sait, cependant, que les effets notables du changement climatique sur les espèces propres aux zones humides comprennent:
- une augmentation de la productivité de ces zones avec des résultats incertains;- la prolifération des espèces invasives;- une perte de la biodiversité endémique ou en danger.
Parmi les zones humides, les tourbières stockent à elles seules deux fois plus de carbone que la biomasse des forêts du monde entier et ce stockage se fait à long terme, contrairement à celui des forêts.Il est généralement admis que la préservation de ce que nous possédons doit être une priorité absolue. Et pourtant, même si le GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) et l’Évaluation des écosystèmes pour le millénaire suivent globalement la bonne direction, nous serons confrontés à de graves problèmes si nous ne comptons que sur la préservation. Il nous faut devenir des gestionnaires plus efficaces de la biodiversité, c’est-à-dire utiliser des techniques de gestion évolutives et une approche écosystémique pour faire en sorte que la biodiversité résiste au changement climatique. Nous ne voulons certes pas encourager les espèces invasives, mais il va nous falloir être réactifs et introduire des espèces sur nos territoires terrestres et marins pour améliorer notre réaction potentielle au changement.
Quant à nos aires protégées, elles pourraient bien avoir d’autres fonctions que la préservation de notre patrimoine, en devenant par exemple des sites d’évolution de nouvelles espèces et de nouveaux écosystèmes capables de réagir plus efficacement aux excès du changement climatique.

Bibliographie:

1-lieu internet
Date 25/01/09
2-lieu: internet
Date 26/01/09
3 Lieu: internet
Auteur Peter Bridgewater, Secrétaire Général
Date 22 mai 2007
Image
Lieu internet

Zone humide



Ce thème est plus que jamais au cœur de l’actualité. 2010 a été proclamée Année internationale de la biodiversité par les Nations Unies. Destruction des habitats, invasion par des espèces exotiques, les zones humides sont concernées par cet appauvrissement de la diversité du vivant. Quels seront les effets du réchauffement climatique sur les zones humides, l’eau, la vie et l'homme ?
Afin de saisir l’importance de ces enjeux, les gestionnaires des sites du réseau Aquitaine Nature vous propose des animations sur ce thème, ouverts à tous, du 29 janvier au 15 février.


La Journée mondiale des zones humides célèbre, le 02 février de chaque année, l’anniversaire de la Convention sur les zones humides, dite « Convention de Ramsar », du nom de la ville d’Iran où elle a été signée en 1971.
Ce traité international sert de cadre d’action nationale et de coopération internationale pour la conservation et l’utilisation rationnelle des zones humides et de leurs ressources.
Il concerne aujourd’hui 159 pays et 1880 sites, soit environ 185 millions d’hectares.
La Journée mondiale des zones humides est l’occasion d’informer et de sensibiliser le public à la valeur et à l’importance de ces écosystèmes si riches et à leurs enjeux de préservation et de gestion. Cette année, elle est placée sous le thème des conséquences du changement climatique sur la biodiversité.


" Les zones humides, la biodiversité et les changements climatiques. " Pourquoi avoir choisi ce thème pour la Journée mondiale des zones humides 2010 ? Beaucoup d'entre vous savent déjà que 2010 est une année spéciale pour la biodiversité - en fait, 2010 a été proclamée Année internationale de la biodiversité par les Nations Unies. Tout a commencé en 2001, quand l'Union européenne a décidé " de mettre un terme à l'appauvrissement de la biodiversité, objectif qui devrait être atteint d'ici 2010 ". Un objectif certes ambitieux, qui a été repris en 2002 par les Parties à la Convention sur la diversité biologique qui se sont engagées " à parvenir, d'ici à 2010, à une baisse significative du rythme d'appauvrissement de la diversité biologique, aux niveaux mondial, régional et national, en tant que contribution à l'atténuation de la pauvreté et pour le bien de toutes les formes de vie sur terre. " Une mission peut-être moins audacieuse que celle de l'UE, mais néanmoins extrêmement difficile à accomplir.



bibiographie


lieu.internet
date.28/01/10
adresse.http://sites-nature.aquitaine.fr/node/698


lieu.internet
date.28/01/10


lieu.internet
date.28/01/10


lieu.internet
date 28/01/10
adresse.
http://images.google.es/imgres?imgurl=http://www.environnement-france.fr/wp-content/uploads/marais.jpg&imgrefurl=http://www.environnement-france.fr/0204-jouanno-groupe-gestion-zones-humides&usg=__lJUVLAB5SseTPNCdc9oW9hNg7KM=&h=266&w=400&sz=49&hl=es&start=37&um=1&tbnid=cB0Y0Cpfu6n4OM:&tbnh=82&tbnw=124&prev=/images%3Fq%3Djournee%2Bmondiale%2Bdes%2Bzone%2Bhumide%26ndsp%3D20%26hl%3Des%26sa%3DN%26start%3D20%26um%3D1

jeudi 21 janvier 2010

la Journée Mondiale des Zones Humides



Comme chaque année, la Journée Mondiale des Zones Humides a lieu le 2 février pour célébrer la signature de la Convention de Ramsar pour la protection des zones humides au niveau international.
Cette année elles ont pour thème « Les zones humides, la biodiversité et les changements climatiques ». A cette occasion, du 30 janvier au 7 février, le CPIE, le Domaine de la Palissade, les Marais du Vigueirat, le Musée départemental de l’Arles antique, le Parc naturel régional des Alpilles, le Parc naturel régional de Camargue, la Réserve nationale de Camargue, le Syndicat Mixte pour la Protection de la Camargue gardoise et la Tour du Valat se mobilisent pour vous proposer des animations : sorties nature, conférences, expositions, ateliers récréatifs…, qui permettront à chacun d’en savoir plus sur ces milieux aujourd’hui menacés.
La Journée mondiale des zones humides est l’occasion d’informer et de sensibiliser le public à la valeur et à l’importance de ces écosystèmes si riches et à leurs enjeux de préservation et de gestion. Cette année, elle est placée sous le thème des conséquences du changement climatique sur la biodiversité.
Disparition de 50% des zones humides en 50 ans:
Définies comme des étendues de marais, de fagnes, de tourbières ou d'eaux naturelles ou artificielles, permanentes ou temporaires [...], les zones humides couvrent dans le monde entre 748 et 778 millions d'hectares. Au cours des cinquante dernières années, le drainage, la pollution, l'irrigation, les guerres et le changement climatique ont entraîné la disparition de 50% de ces zones humides.

Moi je pense que c'est bien de faire des jouneés pour combattre contre la pollution, le changement climatique et tous les choses reliés a sa, mais je pense que ça ne devrait pas être un jour sinon les 365 jours de chaque année.

bibliographie:

lieu.internet
date.28/01/10
adresse.http://sites-nature.aquitaine.fr/node/698

lieu.internet
date.28/01/10
adresse. http://www.lejournaldesplages.com/post/2010/01/13/Journée-mondiale-des-zones-humides-en-Aquitaine

lieu.internet
date.28/01/10
adresse.http://www.mediaterre.org/international/actu,20090514142818.html

site:internet
date:07/01/10
auteur:
web:http://http://www.tourduvalat.org/actualites/evenements/journee_mondiale_des_zones_humides

dimanche 17 janvier 2010

Consommation



La consommation est le fait de consommer des biens et services dans le but de satisfaire
ses besoins. Une société de consommation caractérise une société dans laquelle le niveau moyen
de revenu est suffisamment élevé pour satisfaire, en plus des besoins essentiels (alimentation,
logement, éducation, santé) des dépenses que certains jugent superflues. Cela concernerait par
exemple le fait d'accumuler des biens (par plaisir ou pression sociale ou publicitaire) et de les
utiliser ou juste les montrer.
Depuis cent ans, l’offre est supérieure à la demande (ce qui se traduit par des stocks).
Mais comment écouler ces millions de téléviseurs, d’automobiles superflues, alors que plusieurs
foyers sont déjà parfois équipés de trois téléviseurs, de deux voitures ?
En exportant dans les pays qui ne produisent pas suffisamment, oui, mais là encore, beaucoup de
pays se battent pour ces marchés extérieurs.
Alors… en rendant obsolètes les produits utilisés par le moyen de nouveaux modèles présentant
des caractéristiques nouvelles.
Bien ! Mais ensuite ? Dans les économies libérales, la compétition est féroce et le besoin se fait
sentir de stimuler artificiellement la demande : c’est ici qu’intervient la publicité !
La publicité est l’arme absolue de la société de consommation. Grâce à celle ci les entreprises
sont devenues maître dans l’art de créer (à l’infini) le(s) besoin(s).
Fernando Pessoa indique que nous confondons ce qui est nécessaire et ce qui est désirable. « Il
est humain de vouloir ce qui nous est nécessaire, et il est humain aussi de désirer, non ce qui est
nécessaire, mais ce que nous trouvons désirable. Ce qui est maladif, c’est de désirer avec la
même intensité le nécessaire et le désirable, et de souffrir de son manque de perfection
comme si on souffrirait du manque de pain ». La publicité contribue à cette confusion.

bibliographie:
auteur:
date:
site:internet
web:http://www.villeneuvedascq.fr/tiny/vdaquot/data/sandbox/pj103.pdf



auteur:forum sante
date:
site:internet
web:http://forum.doctissimo.fr/sante/alcool-tabac-drogues/questionnaire-consequences-consommation-sujet_163309_1.htm

site:internet
web:http://blog.provokat.ca/uploads/packagegoods.gif

mercredi 13 janvier 2010

15 Mars, Journée Mondiale des Consommateurs


Depuis 1983, l'association internationale des consommateurs "Consumer
international" célèbre la journée mondiale des droits des
consommateurs le 15 mars. Dans un discours devant le Congrès américain, le 15 mars 1962, le président américain J.F. Kennedy avait énoncé les quatre droits fondamentaux du consommateur : droit à la sécurité, droit à l'information, droit de choisir et droit d'être entendu.

En France, la "défense du consommateur" est relayée par de nombreuses associations et une revue telle que "60 millions de consommateurs", réalisée par des journalistes professionnels travaillant en étroite collaboration avec les experts de l'INC assure une mission de service public en totale indépendance vis-à-vis des fabricants et des distributeurs.(1)

Pourquoi des droits au consommateurs.

Les consommateurs sont l'un des principaux piliers de la croissance économique. Il est donc important de reconnaître leur rôle actif dans le processus économique. Mais c'est aux consommateurs de savoir comment faire valoir leurs droits et à s'acquitter de leurs devoirs. La Journée mondiale des droits des consommateurs permet chaque année de sensibiliser le public aux droits et aux obligations des consommateurs. Aujourd'hui, les droits du consommateur sont au nombre de huit : le droit à la sécurité, le droit à l'information, le droit de choisir, le droit d'être entendu, le droit à la satisfaction des besoins élémentaires, le droit à réparation, le droit à l'éducation et le droit à un environnement sain. (2)
Quelques droits mais des devoirs
- Le droit à la satisfaction des besoins essentiels. Ce droit comprend l'accès à la nourriture adéquate, à l'habillement, à un habitat, aux soins de santé, à l'éducation et à l'hygiène.

- Le droit à la sécurité. Le Consommateur doit être protégé contre tout produit, processus de production ou service pouvant menacer sa santé ou sa vie.

- Le droit à l'information doit lui fournir les éléments qui lui permettent de faire un choix en connaissance de cause et le mettre en garde contre toute information trompeuse ou biaisée.

- Le droit au choix doit lui donner accès à une variété de produits et de services à des prix compétitifs et lui garantir, lorsque concurrence ne joue pas, une qualité satisfaisante à des prix justes.

- Le droit d'être entendu doit lui permettre d'être représenté aux niveaux où se prennent les décisions économiques, afin que ses intérêts soient pris en considération.


- Le droit à un environnement sain et durable prévoit que l'environnement physique soit sauvegardé, en favorisant la qualité de la vie pour les générations présentes et futures.

Bibliographie :
Texte 1
Lieu : internet
Cite : http://www.journee-mondiale.com/51/15_mars-internationale_droits_consommateurs.htm
Date : 15/11/08
Auteur : Journée Mondiale

2-lieu :internet
Cite :http://www.konsum.admin.ch/dokumentation/00143/00400/00517/index.html?lang=fr
Date : 4/01/09

3-lieu :Internet
Cite : http://www.liberation-niger.com/Index.asp?affiche=News_Display.asp&articleid=1689Auteur : Organisation des Consommateurs du Niger

lundi 11 janvier 2010

Journée internationale droit des consommateurs



introduction
nous achetons plus le stricte necessaire de nos jours

Union des consommateurs

Montréal, le 13 mars 2009 - À la veille de la Journée internationale des consommateurs et dans le contexte de crise économique qui rend le consommateur plus vulnérable face aux abus de l’entreprise, l’Union des consommateurs presse le gouvernement Charest d’adopter sans délai des modifications à la Loi sur la protection du consommateur (LPC), afin notamment de faire cesser les nombreux abus de la part des entreprises de télécommunications.

Cosommation

Au cours des quarante dernières années, deux grands postes de la consommation des ménages ont vu leur part quasiment doubler pour atteindre chacun environ 20 % de l'ensemble : il s'agit, d'une part, des biens et des services financés par la collectivité et dits "individualisables" (en fait essentiellement l'éducation et la santé) et, d'autre part, le logement dans le domaine marchand. A l'opposé, dans le même temps, l'alimentation est tombée de 23 à 11 % et l'habillement, de 9,7 à 4 %. Cette double évolution reflète la transformation de longue durée de nos sociétés : les dépenses en produits de première nécessité augmentent certes, mais pas aussi vite que les niveaux de vie. Du coup, leur part décroît au sein de l'ensemble. A l'inverse, de nouveaux besoins se développent et deviennent accessibles à une part croissante de la population. Les dépenses dans le domaine des services en particulier (logement, santé et éducation, mais aussi loisirs et transports) progressent plus vite que le revenu ...


Conclusion
achetez le necessaire


date .14 janvier 2010
auteur.Charles Tanguay


date.14 janvier 2010
auteur. Alternatives économiques


date.14 janvier 2010
auteur.wapedia